« Après une soirée « films d’horreur » hilarante, Valentin, Cédric et Zoeline, trois adolescents qui adorent frissonner de peur, vont vivre en live une expérience digne des meilleurs récits d’épouvante.
Le décor est une maison sinistre à souhait, close comme un coffre-fort de l’enfer, et les damnés qui la hantent font froid dans le dos…
De quoi les combler de bonheur !
Ou de peur…
Car le pire, le monstre, le cauchemar pour de vrai, n’a rien d’un gag…
Il n’a pas de visage, ne parle pas, n’émet aucun son en se déplaçant.
Et lorsque se produit la rencontre… il est trop tard pour fuir… »
Arthur Ténor, en bon touche à tout, a décidé d’amener son lecteur dans un hommage au Slasher avec un super méchant qui n’a pas vraiment d’autre but que de tuer à tour de bras, ou en tout cas de foutre la pire des frousses à un groupe d’ados.
Voilà une ambiance qui n’est pas simple à mettre en mots pour rester efficace à une époque où les effets spéciaux sont au top, et les films de ce genre sont pléthore.
C’est en tout cas, un sacré exercice de style pour un Ténor de la littérature jeunesse.
Vos 200 pages de flippe commencent ainsi :
« Ils s’étaient installés tous les trois côte à côte sur le grand canapé familial de la maison de Valentin Balista, l’hôte des lieux ce soir-là. Zoéline s’était placée entre les garçons, pour se rassurer et, éventuellement, en cas de trop forte émotion, sauter dans les bras de l’un d’eux. Si cela devait arriver, il était certain qu’elle choisirait à sa droite Valentin plutôt que Cédric. »
Mais attention, ami lecteur, ce n’est pas tout !
L’expérience de l’horreur, si tu le souhaites, va beaucoup plus loin avec un concours de photo organisé par l’éditeur.
Oui, tu peux envoyer la plus belle photo d’épouvante que tu auras réalisée.
A gagner, des visites du Manoir de Paris avec le nouveau parcours Asylum, une visite des Catacombes, du cimetière du Père Lachaise, des livres dédicacés…
Rendez-vous sur le site des éditions Scrineo Jeunesse pour tout savoir.