« Des années que le sol lunaire n’a pas été foulé par l’homme.
Pour Mia, Midori et Antoine, l’heure du départ approche…
Alors que Midori y voit un ticket gagnant pour la liberté, loin de sa vie étriquée au Japon, pour Mia, c’est l’occasion rêvée de faire enfin connaître son groupe de rock et de devenir célèbre. Quant à Antoine, il ne souhaite qu’une chose : mettre autant de kilomètres que possible entre lui et son ex-petite amie.
Mais ils sont loin d’imaginer que ce qui les attend sur la face cachée de la Lune est bien pire.
Et dans l’immensité noire de l’espace, personne ne viendra les sauver… »
Voilà-t-y pas que les Norvégiens s’y mettent !
Johan Harstad, auteur du pays des sauteurs à ski (ah clichés, quand vous nous tenez !), s’est emparé d’une certaine science-fiction et a décidé de marcher sur les pas de quelques cinéastes et auteurs de SF Golden Age pour nous ramener sur un astre dont tout le monde se moque aujourd’hui : la Lune.
Il va y installer un huis-clos avec 3 adolescents ayant chacun une bonne raison d’avoir tout quitté, et les confronter à leurs peurs primales, suppose-t-on.
Kirkus Reviews en dit : « Situé dans le plus brutal des paysages connus de l’homme, Johan Harstad a inventé un effrayant monde des possibles dont on espère simplement qu’il ne verra jamais le jour. »
Tout est dit.
A vous de voyager dans ces 475 pages.