les secrets de gaïa-corrections page 42 : Salomon n'a pas commis d'erreurs > erreur page 46 : ce qui laissait à entendre que > laissait entendre que page 51 : c'était durtout dû au fait que les murs de l'Arbre-Mère soient faits de bois > étaient faits page 78 : les Scorticore et autre Taranis > et autres page 100 : du vin au goût de fruit des bois > fruits page 107 (et 425) : les mor-sceaux > construction probablement volontaire sur les morceaux du sceau de Cyané, puisqu'elle est répétée dans le lexique final. Mais beurk. page 115 : En tout cas, le lieu n'était pas moins désert. > n'en était pas moins page 117-122 : des porcs épiques > décrit les Dahals au casque à pointes. Mais je suspecte aussi la confusion avec "porc-épic" page 136 : la joie d'aller retrouver une amie qui lui tenait à coeur. > je ne suis pas sûr qu'on puisse tenir quelqu'un à coeur, mais plutôt quelquechose. Et encore moins sa petite amie... page 193 : la pierre annihilerait le pouvoir du sceptre et, par conséquence, celui du sceau > "par conséquent" serait mieux page 196 : le souvenir que ce lieu et ces fabuleux amis laisseraient dans leur mémoire . > laisserait (le souvenir) page 200 : le grand Athanor > pourquoi une majuscule à cette occasion ? page 201 : la gravure en bas relief > bas-relief page 234 : Athanor primordial > idem, pourquoi une majuscule ? page 291 : Peau d'âne > Peau d'Âne (comme page 276) Rions un peu avec Ménéas : page 14 : eh oui, cette aventure n'a commencé qu'il y a 28 jours ! page 50-54, 341, 397 : heureux les enfants naïfs, et les auteurs aussi, qui usent du "soeurette" à tout va, en ignorant que 1 c'est désuet, et 2 c'est ainsi que les lesbiennes des années 30 s'appelaient entre elles (relisez Ellroy...). Alors qu'utiliser des formules comme "soeur de coeur" aurait été plus poétique et moins gnangnan. page 53 : Oui, jaufrette devient sexy : comment un ado qui n'a jamais eu la moindre pulsion sexuelle en quinze ans acquiert soudain le vocabulaire d'un pervers lisant une revue érotique (j'exagère à peine) Piphan désabille sa camarade des yeux avec un regard d'adulte et pas d'enfant ni d'ado. page 79 : Plusieurs grands maîtres étaient tombés au champ d'honneur. Le Conseil des Aînés avait pris un sacré coup dans l'aile. > ou comment on flingue un texte en ne maîtrisant pas son style. La première phrase est grave, respectueuse, la seconde familière, limite vulgaire eu égard au sujet... et c'est comme ça tout le long... page 92 : le mage fou Sad Hamussen qui met le feu aux puits de pétrole > quel humour ! quel sens du jeu de mot ! Mais les enfants qui lisent ce livre connaissent-ils seulement Saddam Hussein ? page 133-134 : le chateau des Karpathes est spécialisé dans l'enseignement de la fête. Quelle idée... saugrenue... page 143 : les squelettes vampires pas méchants... aurions-nous atteint le sommet du grand n'importe quoi ? non ! car ils reviendront plus tard sous la forme d'un groupe de rock... page 164 : de bonnes oreilles, car leur vol est parfaitement silencieux ! > euh, "silencieux" est déjà absolu, et renforcé par "parfaitement"... il faut vraiment avoir l'oreille fine pour entendre ce qui ne produit pas de son ! page 166 : Leurs jambes, rondes au départ du tronc, se terminaient en pointes aussi fines que des aiguilles, ce qui réduisait leur contact au sol à quasiment rien . > et donc elles ne s'enfoncent pas dans la neige, CQFD ! sauf qu'à poids égale, c'est une plus grande surface qui permet de répartir la charge et de ne pas s'enfoncer (système des raquettes). Zéro en physique (une fois de plus, après l'astronomie du tome2) pour Ménéas ! page 182 : les boissons du grand nord ont des noms sympathiques : les sodallucines, avec les tapiplanantes (onirines et relaxmax), les stupétillantes et les poussorêves. Ou comment un éducateur pour enfants donne plus que l'air d'encourager la prise de substances hallucinogènes ou provoquant un fort délassement. Donc des drogues, vu les noms... page 198 : c'est le chaos, les centrales ont explosée, mais il n'y a pas de radiations ? mais toujours de l'électricité ? n'importe quoi... page 215 : aujourd'hui borgne et pas mal prognathe > oh le joli mot ! mais qu'est-ce que ça veut dire ? "qui a des mâchoires proéminantes"... c'est bien sûr un mot de vocabulaire que les petits lecteurs se doivent de connaître... page 230 : le grand mage Alban Sintonis "s'arrange" pour tuer un méchant Dahal qui prenait son pieds à tuer les enfants et les ados moazis. Pourquoi un mage blanc en vient à un acte aussi violent ? parce que le gars "l'agaçait" ! texto : "- Qu'est-ce qui te prend d'utiliser leurs méthodes ? / 6 Une fois n'est pas coutume. Mais celui-là, il m'agaçait franchement, que veux-tu que je te dise ! " et je ne relève pas le ! final qui devrait être un ? page 272 : la pire vanne d'AEnas : "il faut sauver le soldahal Kimyan". Et idem avec Saddam, la question se pose de la culture et de la maturité du lectorat (je rappelle que le film de Spielberg est déconseillé, sinon interdit, aux moins de 12 ans) page 283 : dans la partie du livre qui ne sert à rien, la grande fiesta animée par le groupe de rock squelette. Vannes pourries, allusions pas du tout adaptées à l'age des lecteurs... page 286 : "les frères Whisley de Gowharts" > oui, la preuve que l'auteur a lu Harry Potter. Mais visiblement, il n'a pas saisu ce qu'on attendait aujourd'hui d'un cycle de fantasy pour ados bons lecteurs... page 286 : le "troudetoon" est bien sûr emprunté à Roger Rabbit. Combien de 12-15 ans l'ont vu ? et combien de ceux_là auront tenu jusqu'à cette page ? page 288 : le canard laquais de service : Le jeun de mots le plus pourri, introduit 8 pages avant sans explication. Gag filé à la Goscinny et tabary ? non, je vais chercher trop loin... page 332 : avec 200 pages de retard, Piphan réalise qu'il faudra peut-être tuer Kim... Rien vu de plus en coquilles dans les derniers chapitres, néanmoins les incohérences se poursuivent, le méchant se retourne trop facilement contre ses maîtres, tout est bien qui finit trop bien...