Si j’ai découvert José Roosevelt par son récit à tiroirs en bande dessinée, “L’Horloge”, j’ai ensuite été subjugué par le peinture de cet artiste brésilien installé depuis de nombreuses années en Suisse. Le surréalisme est son territoire, en passionné des œuvres de Jérôme Bosch et de Salvador Dali, qu’il ouvre au symbolisme, truffant ses tableaux de multiples questionnements et d’échos à la Pop-Culture. On retrouve notamment, en BD comme dans sa peinture, ce canard qui rend hommage à Carl Barks, le père spirituel de Donald Duck. L’Image du Jour... fouille sur le site de José Roosevelt, Juanalberto et se régale...

Le thé psychédélique d’Alice (A mad tea party - 2012) est l’œuvre qui ouvre le site Juanalberto et qui valide tout ce que je viens de vous dire. Réalisée en 2012, elle introduit la figure d’Alice qu’on retrouve très souvent dans la peinture de José Roosevelt.

Tout comme la poire, fruit utilisé de manière symbolique dans nombre de ses tableaux.
La bande dessinée a occupé beaucoup de son temps ces dernières années, dont ce cycle fleuve, “Ce”, commencé en 2007 et achevé avec “Acrostiche”, 13e et dernier volume publié en 2019. Là, il vous faudra découvrir les Éditions du Canard pour d’autres délirantes et complexes aventures, sous un trait qui n’hésite pas devant la difficulté. Impressionnant.
Liens utiles :
Juanalberto, le site de José Roosevelt
José Roosevelt sur Facebook
À lire sur la Yozone :
L’univers de José Roosevelt
Halbran n°9, le fanzine de Juanalberto
José Roosevelt et son art Fantastique
L’Horloge (trois albums chez Paquet)
Roosevelt dans la revue Spectrum
Illustrations © José Roosevelt et ayants droit